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L’habitation

L'habitation

La vue de Hébert datant de 1730 présente la maison des pères, récemment construite, formant avec la chapelle, les cuisines, l’hôpital et les jardins une vaste cour intérieure traversée par deux allées qui se croisent. Tout près, se trouvent un colombier, le magasin, le cimetière ainsi que la purgerie et les boucans utilisés pour l’affinage et le séchage du sucre.

La maison des pères, même si elle ne se trouvait pas au milieu de la propriété, constituait le centre névralgique de Loyola. Le quartier des esclaves ainsi qu’une grande partie des ateliers, dépendances, cultures et manufactures étaient à sa vue. Les principaux chemins permettant d’accéder au débarcadère fluvial ou dégrad, à Cayenne et à la paroisse de Rémire y convergeaient tous.

Le domaine religieux

Le respect des rites catholiques était une règle fondamentale à l’habitation Loyola. La chapelle et le cimetière reflètent l’importance du rôle spirituel des missionnaires jésuites.

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Le domaine résidentiel

Le domaine résidentiel comprend deux secteurs principaux : celui de la maison des pères, constituée de plusieurs aménagements, et le quartier des esclaves.

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Le secteur artisanal

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La poterie et la forge, en plus de répondre aux besoins de Loyola, fournissaient Cayenne et les petites habitations de la région. Ces activités artisanales procuraient aux jésuites d’importants revenus complémentaires.

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Les manufactures agricoles

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Les terres de Loyola étaient affectées à plusieurs cultures : canne à sucre, café, cacao, coton, indigo, roucou, manioc. Plusieurs installations témoignent de la transformation de ces productions agricoles en produits de consommation.

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